Le monstre autrichien face au procès du siècle

Vienne. Le père incestueux âgé de 73 ans avait violé et séquestré sa fille pendant 24 ans. Le monstre autrichien face au procès du siècle 200903160860_w350

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C'est une plongée dans l'horreur que vont vivre les huit jurés et trois magistrats chargés de juger « le monstre » autrichien. C'est aujourd'hui que s'ouvre pour cinq jours près de Vienne le procès de Josef Fritzl, un père incestueux qui a séquestré dans sa maison et violé sa fille pendant 24 ans. Tout commence lorsque sa fille Élisabeth fête ses dix-huit ans. Elle est portée disparue : son père fait croire à ses proches qu'elle a fugué pour rejoindre une secte et qu'elle veut couper les liens avec sa vie d'avant. En réalité, elle est séquestrée par son père dans la cave de la maison familiale.

il brûle un bébé

Débute alors un enfer de qui durera 24 ans. Violée par son père, Élisabeth a donné naissance à sept enfants qui grandissent en captivité. Trois d'entre eux seront adoptés par Joseph Fritzl et son épouse, Rosemarie. Eux, vivent une vie normale à l'étage quand leur mère et les trois autres enfants vivent enfermés dans la cave de la maison. Le septième enfant est en fait un nouveau né qui mourra en 1996 à cause de problèmes respiratoires que le père n'a pas voulu faire soigner. Au début de l'instruction, l'accusé a avoué aux enquêteurs avoir brûlé le corps du bébé dans une chaudière avant de se rétracter et de nier le meurtre. Joseph Fritzl comparait aujourd'hui pour six chefs d'accusation : esclavage, viol, séquestration, menaces aggravées inceste et homicide. Les expertises médicales ont conclu qu'il était pénalement responsable de ses actes et encourt donc une peine de réclusion à perpétuité.

Le scandale a éclaté en avril 2008 quand Fritzl est dans l'obligation de conduire à l'hôpital un de ses enfants captifs, une fille de 19 ans gravement malade. Les médecins lancent alors un appel pour que la mère de la malade, se manifeste, afin de pouvoir la soigner. Elisabeth convainc son père tortionnaire de la laisser sortir. Elle raconte tout à l'hôpital, son père est arrêté par la police. Elle est alors âgée de 42 ans.

Seul l'accusé se rendra au tribunal pendant les cinq jours d'audience, pour l'essentiel à huis clos. La déposition d'Élisabeth a été enregistrée sur vidéo. Les onze heures de témoignage seront diffusées par étapes à l'abri des médias qui ont envahi la ville de Sankt-Pölten pour rendre compte de ce « procès du siècle ». Le verdict est en principe attendu pour le 20 mars.
La double vie dans la maison de l'horreur

La tranquille bourgade d'Amstetten à soixante kilomètres de la capitale autrichienne, ne s'attendait pas à être si connue des médias du monde entier. Depuis la découverte de la maison de l'horreur, ses habitants n'aspirent qu'à une chose : terminer le procès pour tourner la page. Comment croire que pendant si longtemps la double vie de Josef Fritzl n'aie pas été découverte ?

Décrit comme un voisin serviable, Josef Fritzl, ingénieur-électricien à la retraite, avait voulu se reconstituer une seconde famille entièrement à sa merci, selon plusieurs experts psychiatres. Il avait eu sept enfants avec sa femme et en a eu sept autres avec Élisabeth qu'il a séquestrée alors qu'elle avait à peine 18 ans et lui 49 ans. L'enquête a mis à jour un scénario diabolique et minutieux d'une double vie menée pendant près d'un quart de siècle à l'insu de tous, en particulier de son épouse. Celle-ci menait une vie normale au-dessus du cachot insonorisé installé dans la cave sans fenêtre ni ventilation, dont l'accès était protégé par des portes blindées verrouillées électroniquement. Pour adopter trois des enfants nés de l'inceste, Joseph Fritzl avait déposé les bébés nés dans le cachot à plusieurs années d'intervalle, devant la porte de la maison familiale. Les couffins étaient accompagnés de messages d'Élisabeth, écrits sous la contrainte et demandant d'en prendre soin.

Désormais libre, Élisabeth et ses enfants ont toutefois été contraints de s'enfermer de nouveau. Désireux de se protéger des paparazzi, qui tentent depuis des mois de prendre des clichés d'eux, ils ont dû à nouveau trouver refuge dans la clinique psychiatrique d'Amstetten qu'ils avaient quittée fin 2008. Près d'un an après la découverte de toute cette affaire, le grand bâtiment cubique, gris et triste où Fritzl, avait aménagé son cachot, semble figé dans le temps. Pour l'éternité.

je me demande comment réfléchie cet homme ?pendant 24 ans , il n'a jamais eu de remord ?

j'ai envie qu'il meurt

Le monstre autrichien face au procès du siècle 366168

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devloppeur Nombre de messages : 38

Si j’était le juge il ne sera que tuée 7lel fih déjà chwaya fih plutôt

sayer c fait le verdict est tombé jeudi après midi l'accusé est déclaré coupable par les six juge Le monstre autrichien face au procès du siècle 37805_fritzl-image

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L'Autrichien Josef Fritzl a été condamné à la prison à vie avec internement psychiatrique par la cour d'assises de Sankt-Pölten pour séquestration et viol de sa fille Elisabeth pendant 24 ans, ainsi que pour le meurtre d'un bébé né de l'inceste par non-assistance à personne en danger. C'est le verdict rendu jeudi dans l'après-midi par les trois magistrats et les huit jurés de la cour d'assises à l'issue de quatre jours de débat du "procès du siècle", comme il a été qualifié par les journaux autrichiens.

L'accusé a accueilli le verdict sans broncher et ne fera pas appel. Auparavant, parlant en dernier, comme le veut la loi, avant que les jurés ne se retirent pour délibérer, il avait laconiquement déclaré : "Je regrette de tout mon coeur, mais je n'y peux plus rien, malheureusement." La veille, mercredi, Josef Fritzl avait créé la surprise en se déclarant "coupable" des chefs d'accusation de meurtre - passible de la prison à vie - et d'esclavage, qu'il avait récusés jusque-là, plaidant en revanche "coupable" pour les quatre autres chefs d'accusation : séquestration, viols, inceste et menaces aggravées. Il a été reconnu coupable de tous les six chefs d'accusation.

L'homme de 73 ans restera pour l'instant détenu dans sa cellule de la prison de Sankt-Pölten qu'il partage depuis son arrestation fin avril 2008 avec un codétenu, jusqu'à la rédaction finale du verdict et la transmission du texte aux parties concernées, notamment l'avocat de la défense et ceux des victimes. D'après le ministère autrichien de la Justice, cela pourrait prendre jusqu'à la mi-avril. Ensuite, la direction de l'administration pénitentiaire disposera d'un délai de six semaines pour décider dans quel centre spécialisé il doit être transféré. L'Autriche dispose de plusieurs centres de ce type qui peuvent accueillir des détenus étant, comme Josef Fritzl, pénalement responsables de leurs actes mais souffrant de graves troubles de la personnalité et présentant de ce fait un risque de récidive en l'absence de soins thérapeutiques.

Le "martyre inimaginable" d'Elisabeth

Dans cette affaire, le procureur, Christiane Burkheiser, avait requis contre l'accusé "la peine maximum", c'est-à-dire la prison à vie, et son internement psychiatrique pour une durée indéterminée. Le procureur a justifié ses réquisitions en arguant du "risque de récidive" et de "la dangerosité" de l'accusé, en dépit de son âge avancé de 73 ans. En cela, Christiane Burkheiser a suivi les recommandations de l'experte psychiatrique, Adelheid Kastner, qui avait indiqué à la barre que Josef Fritzl lui avait confié être "né pour violer".

La réclusion à perpétuité était encourue par Fritzl en raison de la mort d'un des enfants nés dans la cave-cachot de la maison familiale, où il avait réduit sa fille Elisabeth en esclavage sexuel. Le nourrisson souffrait de graves troubles respiratoires, mais son père avait refusé de l'hospitaliser et il était décédé deux jours après sa naissance. Quant à l'avocate des victimes, Me Eva Plaz, elle s'est faite le porte-parole d'Elisabeth : "Elle veut qu'il soit rendu responsable de ses actes jusqu'à sa mort."

En riposte, l'avocat de la défense, Me Rudolf Mayer, avait estimé que, compte tenu des troubles psychiques de son client et de ses aveux, il devait bénéficier de "circonstances atténuantes". Le procès a été marqué par le bouleversant témoignage vidéo, long de 11 heures, d'Elisabeth - âgée de 42 ans aujourd'hui mais de seulement 18 lors du début du drame, alors que son père en comptait 49 - qui a retracé "le martyre inimaginable", selon les termes du procureur, enduré pendant plus de la moitié de sa vie. source : le point.fr

c'est le maximum mais je crois que c'est mieux que le tuer finalement ,perso je trouve que s'il meurt sa sera un soulagement pour lui , mais qu'il souffre ça c'est bien

tawa netfahem m3ah 5aliwni n5amem bark Mad

user Nombre de messages : 57 Age : 43

bien fait pour lui Twisted Evil